Mon rêve ou mission de vie a toujours été de faire de mon mieux pour contribuer à un monde meilleur, un monde où règne la paix, un monde où les gens sont heureux de vivre.
Un monde de bienveillance, d’empathie et d’entraide.
Présomptueux, certains diraient !
Utopique, pour d’autres !
Que m’importe! Je suis qui je suis!
Bienvenu(e) à toi.
Je suis Isabel, hypnothérapeute, artiste dans l’âme, et créatrice de ma vie,
Je suis là pour t’accompagner sur le chemin de ton évolution personnelle afin que tu puisses toi aussi écrire ton histoire. Reprendre ton pouvoir en te reconnectant à qui tu es vraiment. Et ainsi Révéler le meilleur de toi même.
Mes valeurs principales sont :
Intégrité – Liberté – Respect – Honnêteté – Bienveillance – Bon sens – Intuitive – Pragmatique – Juste
Aussi loin que je me souvienne, une des premières réflexions que je me suis faite sur
l’observation du monde qui m’entourait…
Lorsque j’appris que l’homme était allé sur la lune.
Me souvenant de ce que me disait ma mère lorsque je ne voulais pas terminer mon assiette :
« Mange, en Afrique il y a pleins d’enfants qui meurent de faim »
Et faisant le lien entre « enfants qui meurent de faim et homme sur la lune »
Oui, drôle de lien, mais mon cerveau a toujours fait des liens bizarres…
La question que je me posais à moi-même :
« Pourquoi dépenser tant d’argent pour construire des fusées qui vont sur la lune, alors qu’il y a des gens qui meurent de faim dans le monde. » ?
Encore gamine, je voulais changer le monde et aider les plus démunis. Mère Theresa a eu l’idée avant moi !
J’étais loin de me douter que la tâche serait rude !
Sans compter mon côté éponge super absorbante des malheurs des autres !
C’est ainsi que j’ai grandi, avec une vision d’un monde qui ne me convenait pas et que je voulais transformer.
Alors, j’ai commencé à me construire mon propre monde et à faire semblant dans celui qui ne me convenait pas. Celui que je voyais, extérieur à moi, était trop agressif, trop violent pour me convenir.
Petite fille sensible, émotive, je me sentais incomprise de ma propre famille. J’avais peu d’amis.
Ainsi, plus je grandissais, plus je m’isolais dans mon monde et construisais un bouclier autour de moi. En essayant de m’adapter tant bien que mal à ce monde d’injustices, de jalousies, de
jugements, de guerres.
Quelques années plus tard, une éducation que je qualifierais de normale, mais qui n’était pas adaptée à qui j’étais vraiment, dans une famille peu démonstratrice d’affection.
Que voulez-vous, les parents font de leur mieux avec les outils qu’ils ont eux-mêmes reçu de leurs parents.
Mes prises de consciences, se sont faites petit à petit, en mode ralenti au possible. Un peu comme si je recevais des messages hachurés et que je ne pouvais entendre que trois mots sur dix. En mode codé, quoi !
Ça a commencé par une adolescence très difficile, une des pires périodes de ma vie.
Mais pas la seule.
Mon dragon intérieur qui avait fait de son mieux pour satisfaire les gens dit « normaux » autour de moi, pour s’adapter au mieux à ce monde où il savait ne pas avoir sa place, a commencé à se réveiller.
Et ce fut un énorme combat ! Un combat entre moi dragon et mon moi fictif.
Un combat entre mon vrai moi et celui qu’on avait façonné, formaté, conditionné, programmé.
Je commençais à me rendre compte que tous les efforts faits pour m’adapter ne me correspondaient pas.
Personne à qui me confier, à qui parler de cette souffrance qui me rongeais.
J’aurais pu « mal tourner » comme disent les personnes bien pensantes, en fuyant cette souffrance avec les drogues, ou de mauvaises fréquentations ;
Cependant, il faut admettre que j’avais assez de bon sens pour avoir conscience que ce n’était pas la solution.
Ou peut-être étais-je un brin maso pour préférer souffrir que calmer ma souffrance avec des drogues.
Et puis des choix faits par la partie de moi « formatée » qui m’ont envoyé droit dans le mur. Ce mur que j’avais construit bien malgré moi, avec les pierres qui se trouvaient sur mon chemin.
S’en sont suivis des périodes de dépression récurrentes pendant une bonne partie de ma jeune vie d’adulte.
Mon dragon intérieur continuait de s’imposer et le vrai moi pointait le bout de son nez.
Par étapes, j’osais sortir de ma zone de confort. Si bien que pour combattre toutes les peurs issues de mon formatage, je décidais de m’initier au parachutisme.
D’abord le baptême à 800 mètres, seule. Et deux autres à 1000 mètres.
Et oui, fin des années 80, nous avions la chance, encore, de pouvoir sauter en mode
automatique.
Ce qui n’existe plus aujourd’hui, à cause de la psychose « sécurité ».
Des périodes d’accalmie entrecoupées de périodes dépressives,
voilà à quoi ressemblait ma vie.
Puis j’ai découvert le monde de la psychologie. D’abord par les groupes de paroles animés par une psychologue.
Enfin, un endroit où je pouvais m’exprimer en toute bienveillance.
J’ai commencé à m’intéresser au fonctionnement humain pour mieux me comprendre.
Mes premières lectures en développement personnel furent sur l’analyse transactionnelle.
(Un article y sera dédié très prochainement).
Plus j’avançais dans la vie et plus je me rendais compte que j’avais été trop protégée, trop
étouffée par les peurs familiales, par des croyances limitantes, par la peur du qu’en-dira-t-on…
J’étais un peu comme la fleur qui s’impatiente quelque part que la tige et les feuilles veuillent bien
se développer pour enfin pouvoir apparaître.
De mauvais choix en mauvais choix, qui finalement n’en étaient pas vraiment, mais ça, je
m’en apercevrais beaucoup plus tard.
De psy en psy, je découvre l’hypnose pour régler un énorme traumatisme vécu en pleine
adolescence.
De rencontre en rencontre, je trouve le moyen de me poser les bonnes questions pour
trouver les bonnes réponses, en tout cas des réponses qui me faisait avancer.
Une rencontre avec un artiste, a impacté profondément ma vie.
En étant « fan » de… j’ai trouvé quelqu’un à qui m’identifier, ses questionnements devenaient mes questionnements, ses combats devenaient mes combats, ses réflexions sur lui, sur la vie, m’aidait à voir plus clair en moi. Il a été mon miroir pendant de longues années. Le suivre « à distance », le croiser au hasard de nos routes, m’a aidé à adoucir mes moments de souffrance.
Mais surtout, cela m’a aidé à me poser les bonnes questions, pour trouver des solutions qui me faisaient avancer.
Il a été mon « repère » dans l’apprentissage sur mon chemin de vie. Sur mon chemin de connaissance de moi, d’acceptation de moi, de construction de moi.
Grâce à lui, à ces textes, j’ai commencé à oser, à prendre plus confiance et à oser sortir des sentiers battus.
Ainsi faire des choix de vie que je n’aurais surement pas fait autrement. Et c’est lui qui m’a donné envie de m’inscrire à des cours de théâtre…
J’ai infiniment de gratitude envers la vie, de l’avoir mis sur mon chemin.
Et bien entendu, une énorme gratitude pour cette belle personne qui sans le faire exprès a contribué à transformer ma vie.
(Un livre témoignage est en cours d’écriture)
Je bénis ce jour où le déclic s’est fait, où j’ai eu la bonne idée de m’inscrire à des ateliers théâtre ! Moi, la timide qui n’avais aucune confiance en moi, j’ai osé.
Au fil des mois et des années, en prenant un énorme plaisir à explorer mon être intérieur.
Car, oui, le théâtre, permet ça. C’est devenu une passion et également ma thérapie grâce aux exercices issus de la Sophrologie que l’on pratiquait régulièrement.
Je continuais de me découvrir, prenais confiance en moi, osais m’affirmer de plus en plus. Tout ça grâce aux techniques théâtrales utilisées en cours. Six années en cours d’Art dramatique avec deux super comédiens, l’un formé à L’école Jacques Lecoq, l’autre qui avait travaillé avec Ariane Mnouchkine, complétés par les trois années de Cours Florent, m’ont énormément apporté dans la connaissance de soi.
Je continuais de me découvrir, prenais confiance en moi, osais m’affirmer de plus en plus.
Tout ça grâce aux techniques théâtrales utilisées en cours.
J’apprenais à gérer les émotions avec les exercices de relaxation, à prendre conscience de mon corps, l’écoute de l’autre, poser la voix, articuler. Chaque détail travaillé avait son importance. J’apprenais également à relativiser, à me détacher de l’auto critique et par la même occasion, du jugement de l’autre. J’expérimentais le lâcher-prise dans divers domaines.
Je lisais de plus en plus de livres sur le développement personnel et appliquais au quotidien
tous les exercices proposés. Mes analyses et réflexions devenaient de plus en plus pointues
et m’ouvraient à d’autres visions de moi, des autres, de la vie et du monde.
Et même si je continuais avec des hauts et des bas périodiques, les côtés positifs étaient
gentiment en train de s’installer dans ma vie. Ma vie s’améliorait au fur et à mesure que
Je découvrais qui j’étais vraiment.
Professionnellement, ce n’était pas épanouissant non plus.
J’ai toujours eu l’esprit d’équipe et exécuté mes tâches dans le seul but de faire progresser
l’entreprise pour laquelle je m’étais engagée. C’était sans compter les petits égos de certains
qui préféraient travailler pour eux pour s’octroyer la gloire et les avancements.
Encore une fois, je me retrouvais dans des ambiances où j’avais du mal à trouver ma place.
Impression d’aller à contre courant. Ma différence, que j’avais déjà repéré étant enfant,
continuait de faire surface.
Ma soif de liberté et d’exploration du monde, m’amena pour quelques années en Guadeloupe.
Encore une fois, j’osais
Première étape pour enfin appliquer une partie de « vivre la vie de ses rêves ».
Je me suis autorisé à prendre le risque de vivre de ma passion. Le théâtre !
Le monde du théâtre m’a accueilli là bas et j’en remercie infiniment toutes les personnes qui m’ont fait confiance et avec qui j’ai vécu des aventures formidables.
En tant que comédienne, j’ai accompagné un public au développement personnel depuis plus de 15 ans, en animant des ateliers pour adultes, adolescents et enfants à partir de 5 ans, avec des interventions en milieu scolaire, et organismes d’enfants en difficultés (SESSAD).
Environ 500 personnes ont suivi mes ateliers, pour certains plusieurs années de suite.
C’est ainsi, qu’avec les techniques théâtrales (exercices de gestion des émotions, voix, diction, conscience du corps et de l’espace, écoute de l’autre et de soi, visualisation créatrice…), j’ai pu constater l’effet bénéfique de ses outils pédagogiques sur le développement de la confiance en soi, le dépassement de la timidité, l’amélioration de la mémoire et de la concentration, la diction et autres changements bénéfiques chez les participants.
J’ai également animé des ateliers sur la gestion du stress, la confiance en soi, la prise de parole en public, pour préparer les personnes à leur entretient d’embauche sur la prestation Valoriser son Image…
Outre les techniques théâtrales, j’utilise dans les ateliers, divers outils liés au bien-être et qui m’ont également servi dans mon cheminement personnel.
Mon combat avec moi-même continuait, des hauts et des bas à gérer, des rencontres, des ruptures… J’ai dû faire face à mes blessures d’abandon, de rejet, ma dépendance affective.
Je découvrais des méthodes nouvelles pour guérir de toute cette souffrance profondément ancrée. Je me familiarisais avec les soins énergétiques, le Reiki, le magnétisme et continuait à travailler sur moi avec l’auto-hypnose et la Sophro. Je découvrais la psychogénéalogie et l’impact que peut avoir sur nous notre héritage ancestral, le Yoga et la méditation, le Qi Gong que je pratique encore très assidument aujourd’hui.
Je commençais à avoir un bon coffre à outils pour agrémenter mon cheminement vers l’épanouissement personnel.
Mais c’était sans compter sur les épreuves qui s’accumulaient régulièrement.
J’ai toujours eu l’impression de servir de Punching ball à la vie, l’impression que je devais faire mille fois plus d’efforts que la plupart des gens pour arriver à mes objectifs.
Mais peut-être que ce n’est qu’une fausse impression.
En Guadeloupe, j’ai appris la patience, à travailler sur le lâcher prise, à accueillir au mieux ce qui se présentais et surtout à me détacher de tout ce qui était secondaire.
Je me suis rendue compte, qu’en changeant ma vision du monde et de mon monde intérieur, j’accueillais plus facilement la vie, comme elle se présentait
Par la suite, et pour mieux accompagner les personnes, j’ai complété toutes mes
connaissances déjà acquises, en suivant plusieurs formations certifiantes en PNL, Hypnose Ericksonienne, Technique des Mouvements Oculaires, Neuropsychologie et une
spécialisation enfants. Tout dernièrement, les troubles du comportement alimentaire.
Je continue de me mettre à jour en m’ouvrant à toutes autres techniques liées au
développement personnel.
Et avec un mix de toutes mes connaissances et expériences acquises, j’ai créé ma propre méthode d’accompagnement en développement personnel :
Ma méthode Consciensiousness
Je devais faire tous ces détours de chemins pour arriver là où je suis aujourd’hui !
Pourrais-tu imaginer une association des trois ?
La limace, pour prendre son temps à savourer et accueillir ce qui se présente à elle !
Le papillon, pour apprécier des moments de vie avec légèreté !
Le dragon, pour continuer son combat intérieur qui lui permet de rester en équilibre avec ce qu’il est vraiment !
C’est donc là que je suis aujourd’hui ! Mon vrai moi a gagné plusieurs batailles…
Et les réajustements pour trouver un équilibre constant se font peu à peu, au jour le jour, avec de la patience et quelques routines quotidiennes.
En tant que thérapeute, j’ai la chance d’accompagner des personnes sur leur cheminement personnel avec l’Hypnose Ericksonienne, la PNL et les exercices de Sophro. Ces outils, permettent d’aller en profondeur dans les « nettoyages » émotionnels et traumatismes.
S’octroyer du temps pour soi, s’autoriser à cette connexion à soi, pour s’épanouir dans sa vie, devrait être le but d’une vie.
Pourquoi ?
Parce que si tu es épanoui(e) dans ta vie, si tu respire la joie de vivre, si tu aimes qui tu es,
ton entourage en bénéficiera également.
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